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 Rome, Italie  
   


CHOCOLAT.TV > ROME > PIEGES A EVITER


Éviter les pièges de la vie pratique

Le voyage, c’est la découverte ! Mais parfois, mieux vaut éviter quelques petits inconvénients :

Au restaurant

- On mange rarement avant 13h30 en mi-journée et 21h le soir. Les cuisines restent facilement ouvertes jusqu’à 23 heures.

- Beaucoup de restaurants ferment la première ou la deuxième quinzaine d’août, période de congés annuels.

- Les cafés et les bars ne sont pas toujours équipés de WC. D'autres fois, il faut demander la clé au comptoir (pour s'assurer que seuls les clients y ont bien accès).



- Depuis janvier 2005, les lieux publics italiens (restaurants, cafés, discothèques) sont totalement non-fumeurs et la population se plie à l’interdiction avec une facilité surprenante (quand on songe à l’hostilité populaire qu’avait déclenché le port obligatoire du casque en deux-roues). Désormais, comme en Irlande, en Norvège ou en France, les cigarettes se grillent à l’extérieur. Amende de 27 € (275 € en présence d’enfants ou de femme enceintes) en cas d’infraction, 2'220 € pour le propriétaire des lieux.


- Traditionnellement, un repas italien se compose d’une succession de plats, proposés à la carte dans l’ordre suivant : Antipasti (les hors-d’œuvres), Primi (les premiers plats), Secondi piatti (les deuxièmes plats), Contorni e verdure (les garnitures et les légumes), Dolci (les desserts). Naturellement, seuls les repas de fête sont aussi riches et les Italiens eux-mêmes se contentent généralement d’une entrée et d’un plat principal.

- Il arrive que les prix affichés au menu n’affichent pas le « pane e coperto » (2-3% de l’addition finale) ni le « servizio » (10%), le pain, le couvert et le service. Quoique de moins en moins répandues, attention aux mauvaises surprises ! La facture peut augmenter de 1,50 € à 5 €. Ces majorations doivent obligatoirement figurer sur la carte. En cas de doute, demandez avant de commander si les tarifs affichés sont toutes taxes incluses et le cas échéant, informez-vous du montant additionnel. Dans les bars et cafés, les Italiens préfèrent d’ailleurs consommer leur café debout, au comptoir, et économiser ainsi le « servizio », uniquement facturé aux clients attablés. Pour un repas complet incluant entrée, plat principal, boisson et dessert (sans le vin), comptez entre 25 et 35 € en moyenne.

- Distinguez le « servizio » (service), taxe imposée par le restaurateur, du pourboire (mancia) qui récompense la qualité du service. Apprécié mais pas toujours attendu, à vous de juger.

- Les buffets « antipasti » se facturent au service (unique) et non à volonté comme on pourrait le croire.

- Les poissons sont souvent facturés au poids et non au « plat » comme chez nous. Le vendredi est traditionnellement jour de morue à Rome.



- A Rome, on ne met pas toujours de fromage râpé sur les pâtes et on peut vous le faire comprendre. Indice : lorsque le serveur n’en propose pas spontanément en amenant l’assiette, abstenez-vous… Et si vraiment, tout Romain qui se respecte préférera le Pecorino (terme désignant tous les fromages de brebis) au traditionnel Parmiggiano Reggiano.

- Ceux qui n’aiment pas les abats se méfieront, c’est l’une des spécialités de Rome et plus particulièrement du quartier de Testaccio où officiaient les abattoirs. Ils prendront garde d’éviter les classiques « Tripes alla romana », « coda alla vaccinara », queue de bœuf, « testine d’agnello al forno », têtes d’agneau au four et « Pagliara », intestins de jeunes veaux. Au contraire, les amateurs du genre se précipiteront via Monte Testaccio 30 au « Checchino dal 1887 » (http://www.checchino-dal-1887.com/ ), l’un des premiers restaurants de Rome, à deux pas des anciens abattoirs, une institution. Menu dès 42 €. Réservation obligatoire : 06 57 43 816

- Bien qu’originaire de Naples, la pizza occupe le haut de l’affiche dans les restaurant romains. Comme ailleurs, il y a de tout. Du très bien et du moins bien. Suivez les indications « forno al legno », elles vous conduisent aux pizzas exclusivement cuites au feu de bois.

- Que serait l’Italie sans les pâtes bien sûr, les « Pasta » dont les Italiens, premiers producteurs mondiaux, sont aussi les plus fervents consommateurs : près de 30 kg de pâtes par habitant. A Rome, les spaghettis apprêtés à toutes les sauces sont une spécialité. A enrouler autour d’une cuiller et surtout ne jamais, jamais, couper avant d’avaler.

- L’eau du robinet, bien que consommable, n’a pas bon goût à Rome. Les restaurants servent de l’eau minérale en bouteille qu’ils facturent en général 2 €.

- Les desserts ne sont pas une spécialité. A Rome, pâtisseries et gâteaux se réservent généralement pour les jours de fête. Ceux qui ornent les devantures des commerces sont souvent là pour sustenter les touristes. Les Romains préfèrent les fruits et les glaces bien sûr, les fameuses « gelati » proposées dans les restaurants mais toujours meilleures dans les petites « gelataria » de quartier.

- Recalculez l’addition. Il arrive que les serveurs se trompent…



Achats

- Dans la rue, de nombreux vendeurs proposent « à la sauvette » différents articles de marques : lunettes de soleil, sacs à main, parfums, chaussures… à tout petits prix. Ne soyez pas naïfs ! Il s’agit toujours de contrefaçon et l’amende peut se révéler salée de retour au pays, certaines douanes, notamment françaises, facturant le double du prix de l’original… de marque !

- Les horaires des commerces sont très variables. Attention, en général, les magasins ferment entre 13 et 16h, moment sacré de la « pennichella », de la sieste, ainsi que le dimanche toute la journée, sauf dans les zones touristiques.


Églises

- Certaines ne se visitent pas. D’autres ouvrent leurs portes aux curieux uniquement tôt le matin et le soir. Le week-end, les églises accueillent messes, baptêmes, enterrements et mariages. Attention de ne pas déranger…

- On demande parfois aux visiteurs une maigre participation pour « l’éclairage des églises », de 1 € à 2 €. Une tirelire se situe à la sortie.

- Une tenue « décente » est exigée. Les femmes doivent cacher leurs épaules et leurs genoux, les hommes, renoncer au short et débardeur. En cas d’oubli, les gardiens veillent et proposent, parfois, de longs tissus pour dissimuler les morceaux de chair interdits…



Musées, sites, monuments, curiosités

- Les musées n’acceptent généralement pas les cartes bancaires. Tous ont plus ou moins aligné leurs tarifs autour de 7€ le ticket d’entrée.

- A Rome, les musées ferment généralement entre 14h et 15h ainsi que le lundi toute la journée. Les plus grandes institutions accueillent les visiteurs jusqu’à 22 heures, 19 heures pour les musées plus petits. Pour un panorama plus précis des horaires qui changent très régulièrement, reportez-vous au site Internet de l’Office du tourisme de la municipalité de Rome (www.romaturismo.it ) et sur le site Musei Online (www.museionline.it ) qui met régulièrement à jour les horaires, tarifs et expos temporaires des musées à Rome et dans toute la Péninsule.

- Entre juin et août, les files d’attente s’allongent devant les principales curiosités de la ville, sous un soleil de plomb (en particulier devant le Vatican, au Forum et au Colisée)… à éviter absolument, en s’y rendant tôt le matin ou en fin de journée (bon plan pour des tickets d’entrée au Colisée sans attendre dans notre rubrique « Bons plans, Musées, curiosités »).

- Les expositions sont trop rarement traduites en français, plus facilement en anglais. Si vous n’êtes pas à l’aise avec la langue de Shakespeare, renseignez-vous aux caisses avant de sortir votre porte-monnaie. Plusieurs musées proposent des « audio tours » en français, qui accompagnent votre visite, un écouteur vissé sur les oreilles.



Transports publics

- Les transports publics ont de la peine à se frayer un chemin entre les vestiges romains (l’extension du métro est limitée par les fouilles archéologiques), les ruelles historiques et les avenues congestionnées par le trafic. Privilégiez la marche à pied dans le centre de Rome.

- Les tickets de bus s’achètent AVANT de monter à bord, dans les bureaux de tabac, kiosques et distributeurs automatiques à proximité des stations.

- En bus, les billets uniques, 1 €, sont valables 75 minutes mais se limitent à un seul trajet en métro et en train.

- Ne pas oublier de valider son ticket avant de monter dans le train. Les amendes sont salées.

- Les taxis officiels sont uniquement jaunes ou blancs, attention aux particuliers qui s’improvisent taxis. Éviter les véhicules dépourvus de compteur... ou rigoureusement négocier la course avant de monter.


Voiture

- La voiture ? Un enfer à Rome. Concert de klaxons, priorités refusées qui se règlent à grands renforts d’insultes, parcage anarchique. Si malgré tout, l’aventure vous tente, le stationnement deviendra vite votre cauchemar. Vous finirez inévitablement par parquer « à la romaine », un peu n’importe où. Attention aux « zona rimozione », où les véhicules dissidents sont envoyés à la fourrière. Les principaux loueurs sont représentés à Rome.

- Voiture envolée ? Appelez la fourrière au 06 33 220 527. Si elle est là, c’est plutôt bon signe… elle n’a pas été volée. Pour la récupérer, une centaine d’euros et 5 euros et des poussières par jour.

- Attention : les voitures des non-résidents ne sont pas admises dans le centre historique de Rome du lundi au vendredi de 6h30 à 18h, le vendredi soir, le samedi de 14h à 18h et de 23h à 3h. 22 rues sont ainsi équipées de détecteurs électroniques d’accès capables de détecter et d’enregistrer les immatriculations des véhicules non autorisés à y accéder. Les propriétaires reçoivent une amende à leur domicile. A éviter en stationnant à la gare Termini ou au Vatican et en rejoignant le cœur de la ville à pied ou en bus. Si votre hôtel se situe en zone de trafic limité, demandez à la réception de faxer l’immatriculation de votre véhicule avant votre arrivée pour éviter une sanction (fax : 0039 06 57 11 82 59)



Fêtes, jours fériés

- La « Festa dell’Assunta, Ferragosto », annoncée fériée le 15 août, peut déborder sur plusieurs jours et paralyser la vie quotidienne, notamment économique, du pays. A anticiper…

- En italien, « giorno feriale » signifie jour OUVRABLE. Et « giornio festivo », jour férié. A ne pas confondre…


Vols, perte

- Comme dans toutes les grandes villes, la prudence est de rigueur à Rome. L’une des techniques les plus efficaces consiste à découper les sacs à la lame de rasoir et à en vider le contenu. Les malfrats sévissent généralement dans les transports publics bondés aux heures de pointe ou dans les longues files d’attente. Méfiance ! Si cela arrive, alertez le poste de police (« questura ») le plus proche (numéro de téléphone d’urgence : 113). Carabinieri et Polizia disposent de bureaux à la gare Termini. Dressez un constat d’assurance en cas de vol de valeurs (argent, appareil électronique). Le consulat de votre pays est compétent pour vous fournir de l’argent, billets pour le transport du retour, pièces d’identité provisoires, etc. Lire notre rubrique « Urgences : police, pompiers, ambassades et consulats.

- Office municipal des objets trouvés : 06 58 16 040 de 8h30 à 13h (Depositeria Comunale, Via Nicolò Bettoni 1)


Téléphones

- Les cabines téléphoniques acceptant des pièces de monnaie sont rares. Il en existe à la gare Termini et dans quelques stations de métro et bars. La plupart du temps, les téléphones publics fonctionnent avec des cartes téléphoniques prépayées (2,58 €, / 5,16 € / 7,74 €) disponibles dans les bureaux de tabac, les offices de poste, dans la plupart des kiosques et dans quelques bars. Attention : les appels locaux sont aussi facturés. Le tarif d’une communication locale commence à 0,10 €.

- Les numéros débutant par 338, 330, 347, 335, 339 et 368 sont des numéros de téléphone portable. Les communications sont plus chères qu’avec les téléphones fixes.

- La folie « téléphones portables » est telle que certains lieux publics en ont purement et simplement interdit l’utilisation. Référez-vous à la signalisation.

- Les lignes des principaux opérateurs sont régulièrement saturées. Mieux vaut alors s’armer de patience.


Bureaux, administrations

- Les bureaux de l’administration n’ouvrent que le matin.

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